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Philippe ARÈNE-DOMENGE

Collections , peintures


Philippe ARÈNE-DOMENGE est un peintre français né à Marseille en 1966 explore différentes voies artistiques, puis commence en 2014 une recherche sur l’émotion, d’abord avec « les portraits imaginaires », puis, à partir de 2018, une recherche sur l’abstraction avec « les pièces abstraites ». Pour traduire l’émotion, il s’appuie sur la franchise de la touche et un geste juste, comme pour un art martial sur toile.

Par volonté de s’obliger à découvrir de nouvelles choses à chaque toile, et ne pas faire de multiples variations d’une même toile en déclinant la même idée dans différents formats, il se contraint désormais au format 100 x 100 cm.

Dans les deux cas, avec l’émotion comme point de départ, il veut transmettre avec force, et à coups de larges brosses, non sans une précision extrême dans la composition des touches, un équilibre dans sa facture, entre vigueur et subtilité.

  • Biographie

    Diplômé en 1989 de l'École Supérieure d’Arts Graphiques de Paris (L'ESAG, appelée aussi Penninghen, anciennement Académie Julian), son travail est une recherche profonde, entre émotions et geste en mouvement.

31 mai, 2021
Pratiquant dessin et peinture depuis toujours, c’est en 2014 que Philippe ARÈNE-DOMENGE se contraint à ne travailler désormais qu’avec le format carré 100x100 cm et un seul sujet l’émotion, sa représentation ou son évocation. Cette contrainte l’oblige à trouver à chaque nouvelle toile une évolution nécessaire à son authentique recherche picturale. C’est à coups de brosses larges qu’il a choisit de traduire son travail sur l’émotion ; d’une part, avec des portraits imaginaires qui nous transmettent l’intention choisie, d’autre part avec le jeu des abstractions, composées telles des pièces musicales. L’émotion reste le sujet et le point de départ de ces deux démarches, et bien-sûr, la franchise et le mouvement de ses touches qui font son style, en affirment la singularité.

TEXTES ET ENTRETIENS

08 avr., 2021
ENTRETIENS entre Pierre BARGIN* et Philippe DOMENGE dans l'atelier de Cabriès en décembre 2020
12 mars, 2021
Et pourquoi utiliser précisément des brosses ? Pourquoi associer l’huile et l’acrylique ? Pour insuffler une dynamique à la touche, un mouvement à la peinture, une vie dans la matière. L’huile et l’acrylique s’attirent et se repoussent ; à elles deux, elles rendent la matière vivante, quand le tableau se fait, ce qui me permet d’y répondre, et de choisir la suite en fonction de cette vitalité. Pour moi, la Peinture, c’est matérialiser la conscience de soi au monde par son geste sur la matière caressée par la lumière. Pourquoi s’imposer un format déterminé, un thème récurrent ? En érigeant un système aussi strict, n’est-ce pas restreindre son espace de création ? Au contraire, je pense un cadre strict, générateur de liberté, et d’une véritable recherche... Si tous les possibles restent présents, je ne suis pas sûr d’avoir suffisamment de force pour réellement me remettre en question... et crains de ne plus pouvoir rien faire d’autre que ce qui a déjà été fait dans l’histoire de la Peinture. J’ai découvert que même si je peins des toiles d’un mètre par un mètre, avec des brosses de deux, huit, dix centimètres de large, la forme du visage aussi bien que l’émotion dépendent du placement exact de la touche, au millimètre près ! Un millimètre à côté, et le caractère du visage en est transformé, et l’émotion retranscrite évolue... Cette recherche de la place et de la taille exacte de chaque touche, pour aboutir au visage que je veux exprimer, à l’émotion que je veux partager, au sentiment que je veux offrir, est passionnante ! La manière de poser la peinture sur le tableau nécessite de désapprendre le geste virtuose, afin de pouvoir tenir le pinceau de n’importe quelle façon, comme un stylo ou une baguette, au début du manche ou au bout de ce dernier, de la main droite ou gauche (pourquoi pas ?), peindre à partir du mouvement des doigts, du poignet, de l’avant-bras, du bras entier, de l’épaule, du dos, du bassin, du corps, en légèreté ou en force, avec une pression volontaire constante ou ponctuelle ; puis, choisir. Choisir le geste qui conviendra le mieux à la touche, à celle-là, dans l’instant... Unifier son corps et son esprit par la respiration, “trancher son ego“ comme disent les arts martiaux traditionnels ; voilà le pourquoi de tout ce travail sur soi ! Accroître les potentialités de son corps afin de pouvoir vivre et exprimer le sentiment issu de la conscience de l’instant, dans ses moindres nuances... Être libre de ses gestes. Vouloir être libre de ses gestes, n’y a t-il pas là une contradiction, entre volonté et liberté ? La volonté d’y parvenir, la liberté au moment de l’acte. Il est certain que l’exercice de cette liberté ne doit pas être forcé, mais devenir naturel, afin qu’émotions, sentiments et conscience puissent s’exprimer vraiment... Il faut cependant la volonté d’y parvenir, la volonté de poursuivre cette étude. Qui est Pierre Bargin ?*
03 mars, 2021
Peindre des portraits sans modèle, n’est-ce pas faillir à la tradition, ouvrir davantage à l’imaginaire plutôt qu’à la représentation ? Je ne pense pas... La question de la représentation est indépendante de la question du modèle ; l’imaginaire pose aussi la question de sa représentation... C’est une question abordée, avec modèle ou sans modèle, depuis environ quarante mille ans par les peintures rupestres des grottes de l’île de Sulawesi, en Indonésie, par les portraits posthumes du Fayoum, ou encore par les portraits psychologiques de Francis Bacon, ou par ceux, plus réalistes bien que tourmentés et existentiels de Lucian Freud. Les questions que pose la représentation sont pour moi toujours d’actualité ! A partir de la première photographie en 1826, et après sa diffusion tout au long du dix-neuvième siècle, beaucoup de Peintres, de Photographes, de Critiques d’Art, ont pensé la Peinture dépassée... Beaucoup ont pensé la Photographie plus efficace dans le réalisme de la représentation... et comment le nier ! Du coup, beaucoup de Peintres ont éprouvé la nécessité d’explorer des voies artistiques que la Photographie ne pouvait suivre : par exemple, la dé-construction cubiste, l’expressionnisme, ou l’abstraction... Par ces explorations, tant de voies n’ont-elles pas, pour autant, enrichi l’histoire de la Peinture ? Oui, certes ! Je ne saurais remettre en question ces démarches historiques. Simplement, je ne suis pas loin de penser l’inverse concernant l’influence de la Photographie : c’est la Photographie qui a sauvé la Peinture ! Elle l’a libérée de cet éternel devoir de réalisme de la représentation ! La Photographie a tué le réalisme, l'Art pompier... et tant mieux ! C'était une impasse sans intérêt pour la Peinture ! Si La Photographie est une technique de représentation du Réel, la Peinture, pour moi, ne s’est jamais limitée à cela. Pour ma part, tout l’intérêt de la Peinture est en cet interstice situé entre le Réel et son imparfaite représentation. C’est en ce lieu que résident l’interprétation de l’artiste, l’émotion qu’il peut projeter, l’inexplicable force de la Peinture. La Peinture n’est pas toujours une représentation du Réel, elle peut représenter autre chose que le Réel et peut être abstraction, mais, dans l’exercice de la représentation du Réel, elle déborde cet exercice et, en allant plus loin, devient une interprétation du Réel, un point de vue artistique du Réel, une pensée personnelle du Réel. Grâce à cette brèche et par cette ouverture, je peux exprimer une pensée personnelle du monde à travers ma Peinture.
01 janv., 2021
Achever une toile, est-ce juste donner un tableau à voir, ou plutôt se libérer d’une obsession en l’offrant au regard des autres ? Me libérer d’une obsession ? En aucun cas ! Si je sens qu’une toile est le résultat d’une pathologie psychique, je la recouvre immédiatement ! J’ai toujours considéré, dans la mesure de ma clairvoyance, que le "regardeur" n’est pas là pour supporter a posteriori mes tourments intérieurs fixés sur la toile ! Une toile est terminée quand... Difficile à dire ! C’est un questionnement, un suspens qui peut durer quelques mois et une seule petite touche peut déclarer son terme ou, au contraire, son statut de toile définitivement ratée ! La toile n’est pas finie, pourtant par une touche de trop, sa globalité bascule dans la médiocrité... Elle m’apparaît achevée lorsque je sens qu’elle peut enfin vivre par elle-même. En assumant de signer une œuvre, est-ce la fixer, la figer, ou plus généreusement la livrer aux autres et au temps ? Les trois à la fois, mais là, la toile commence sa vie propre. L’éclairage change, le tableau changera... Avoir un tableau chez soi, le découvrir un matin par une lumière automnale, le redécouvrir un soir d’été, à telle heure de la journée ou à telle autre... en avoir une connaissance intime, et dialoguer avec lui. C’est ce qu’offre un tableau réussi. Et c’est ce que j’aimerais offrir... Ce but idéal, cette quête exigeante, sont-ils atteints ? Non, bien-sûr ! Sinon j’arrêterais de peindre ! Mais j’espère être sur la voie... et continue de me poser les mêmes questions, en essayant à chaque toile d’y répondre un peu mieux : Comment atteindre la délicatesse et la profondeur d'une pensée picturale grâce à la matière ? Comment faire pour qu’un tableau soit comme un arbre, pour qu’il ait sa longévité, évoluant avec les regards que l’on pose sur lui, pour qu’il ait sa sereine présence, sa tranquille puissance ? Comment faire pour que l’on ait envie de s’asseoir sous sa lumière, pour qu’il nous réconforte ou pour qu’il interroge, pour qu’il soit un compagnon ou un empêcheur de penser en rond, enfin... pour qu’il soit là ? Cabriès, janvier 2019 Qui est Pierre BARGIN ? *
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